Merci à Anne Bocandé pour le chouette entretien qu’elle m’a consacré pour le magasine Courrier de l’Atlas 🙂
Catégorie : Dans les médias
France culture : du stade à la rue
Emission sur France culture le 20 juillet 2019 La finale de la Coupe d’Afrique des Nations n’est pas qu’un match de football pour les supporters algériens. Face aux Sénégalais, les « Fennecs » ont été scrutés par toute une nation qui connaît, depuis plusieurs mois, des instants décisifs pour son avenir. La fête a été belle puisque…
Algérie/CAN 2019 : interview à l’AFP
Interview diffusée notamment sur Le Point, El Watan Le parcours exceptionnel de l’équipe algérienne de foot, qui dispute vendredi la finale de la CAN-2019 face au Sénégal, a été fêté dans la liesse par les Français d’origine algérienne qui y voient « un symbole de la révolution » en cours en Algérie, explique Karim Amellal, enseignant à…
« L’équipe algérienne, binationale, nous rappelle à tous que la diversité est une richesse collective »
Les Fennecs comptent pas moins de 14 footballeurs franco-algériens. Une pluralité qui « n’est pas une tare », rappelle l’écrivain Karim Amellal. Publié dans Le Monde le 16 juillet 2019 . Tribune. A la faveur du parcours spectaculaire de l’équipe nationale d’Algérie, qui accueille pas moins de 14 binationaux, la question de la double nationalité se retrouve posée,…
Interview dans Libération sur « Dernières heures avant l’aurore »
Karim Amellal : « Je porte dans ce roman un regard rétrospectif sur l’Algérie depuis la guerre d’indépendance » BÉLIGH NABLI 29 MAI 2019 (MISE À JOUR : 29 MAI 2019) L’écrivain Karim Amellal porte un regard réaliste sur la société algérienne, avec ses fantômes, ses impasses et ses espoirs. C’est le crépuscule de l’Algérie de l’ère Bouteklika qui est…
Dans #MOE sur TV5 Monde
J’étais l’invité de l’émission Maghreb-Moyen-Orient sur TV5 Monde dimanche soir 12 mai pour parler de « Dernières heures avant l’aurore » en compagnie de l’écrivain tunisien Habib Selmi. Pour voir un extrait, cliquer ici : Pour voir intégralement l’émission, c’est ici :
« Les deux rives de la Méditerranée ont mieux à partager que la gestion de la “crise migratoire” »
Nord et Sud doivent développer une politique commune audacieuse qui repose plus sur le dynamisme du secteur privé et des sociétés civiles, plaident Karim Amellal et Alexandre Kateb. Par Karim Amellal et Alexandre Kateb Publié le 31 janvier 2019 à 11h54 – Mis à jour le 31 janvier 2019 à 11h54 A bord de l’«…
Burkini, Algérie et littérature dans #MOE
J’étais l’invité, dimanche 17 septembre, de l’émission « Maghreb-Orient-Express » – #MOE pour les intimes, en compagne de l’écrivaine libanaise Maya El Hajj et de l’artiste Scarlett Coten. Nous avons parlé, notamment, des polémiques sur le burkini (en France en 2016) et le bikini (en Algérie cet été) suite à l‘article que j’ai publié sur le site…
Interview TV5 sur « Bleu Blanc Noir »
Entretien avec Karim Amellal, Auteur de « Bleu Blanc Noir » aux Editions de l’Aube. 2017. Malaise dans la République. Rongée par les questions identitaires, la France se donne démocratiquement à l’extrême droite. Marine Le Pen applique méthodiquement son programme de « Redressement national ». Dans les marges d’une société travaillée depuis des années par…
Le roman national de Karim Amellal
Article paru dans Libération le 2/09/2016. EGALITÉ(S) Le roman national de Karim Amellal BÉLIGH NABLI 1 SEPTEMBRE 2016 (MISE À JOUR : 1 SEPTEMBRE 2016) Karim Amelall, le 28 avril 2016. Photo Own work Amandine388 DR L’auteur de «Bleu Blanc Noir» dénonce une France qui n’en finie pas de se morceler. Il imagine une France gagnée…
Le cauchemar tricolore de Karim Amellal
Article d’Eric Loret paru dans Le Monde LE MONDE DES LIVRES | Par Eric Loret Abonnez vous à partir de 1 € Réagir AjouterPartager Tweeter Bleu Blanc Noir, de Karim Amellal, L’Aube, 406 p., 23 €. Karim Amellal, 2016. AMANDINE388/C BY-SA 4.0 Approchez, n’ayez pas peur. Cela ne mord qu’un peu. Karim Amellal corrige les mœurs en…
« Bleu Blanc Noir » dans Le Monde
Bleu Blanc Noir dans Le Monde, en compagnie des amis Omar Benlaala pour son roman L’Effraction, Mohamed Nedali pour Evelyne ou le djihad et Kaoutar Harchi pour son essai Je n’ai qu’une langue et ce n’est pas la mienne.